samedi 30 janvier 2016

au cimetière d'Ixelles

Créé en 1877 pour répondre à l'augmentation du nombre d'habitants de la commune, le cimetière actuel d'Ixelles s'étend sur cinq hectares. Les familles aisées qui s'établirent aux alentours des étangs d'Ixelles ont fait appel aux architectes et sculpteurs du 19e S pour édifier les caveaux et monuments funéraires. On y trouve des oeuvres de Victor Horta ou de Constantin Meunier, qui plus tard seront à leur tour inhumés à Ixelles. Le cimetière comporte plusieurs monuments dédiés aux victimes de la guerre 1914-1918 dont le Reposoir des Martyrs, gardé par quatre statues guerrières, qui abrite les tombes des soldats moins fortunés tandis que les militaires haut gradés, issus de familles nobles ou très aisées, sont honorés par des monuments imposants.Parmi les tombes, j'ai remarqué celle de Charles de Coster, auteur dee Thyl Uylenspiegel et celle de Marcel Broodhaerts.








 


samedi 23 janvier 2016

autour de l'église Saint-Denis

La légende raconte qu'au 7e siècle un habitant du village, converti au christianisme, offrit une maison en bois et torchis pour y créer une église, qui fut consacrée à Saint Denis l'Aréopagite, ce bâtiment se trouvait sur un terrain contigu à l'église actuelle, terrain occupé par une plaine de jeux. Au 12e siècle on construisit sur ces lieux une chapelle indépendante : la chapelle Saint Alène. Sainte martyre dont on peut voir le cénotaphe dans le choeur de l'actuelle église. Cette dernière date du 15e siècle et résulte des transformations fusionnant la chapelle Sainte Alène et l'ancienne église Saint-Denis, transformée en église romane au 12e siècle puis remplacée par une église gothique, dont les restes constituent le choeur de l'église saint-Denis. 






Face à la maison communale de Forest se dresse le monument aux morts des deux guerres mondiales du 20e S. Les statues, dorées, sont l'oeuvre de Victor Rousseau (1865-1954), sculpteur wallon influencé par l'art hellenique et l'art Nouveau. Le motif central, en mémoire des victimes de la Grande Guerre, est flanquée de deux sculptures érigées à la mémoire des héros de 1940-45





mardi 19 janvier 2016

canal de Bruxelles

Bruxelles-Capitale est traversée par le canal de Willebroek (canal maritime de Bruxelles à l'Escaut) qui se prolonge au sud par le canal Charleroi-Bruxelles.  D'une importance économique considérable, ce canal rend le port de Bruxelles accessible aux bateaux de mer et aux péniches de 9000 tonnes. Plus de la moitié du pétrole aboutissant à Bruxelles y est acheminé par voie fluviale. Jadis le canal de Bruxelles séparait les quartiers commerçants et bourgeois à l'Est et des quartiers ouvriers à l'Ouest, et était le coeur de l'activité industrielle de la capitale. Le déclin industriel, la délocalisation des entreprises, la concurrence des transports routiers et ferroviaires ont profondément modifié le paysage économique des quartiers environnant le canal. Certes des entreprises d'exportation d'automobile, des tankers pétroliers, les abattoirs, ou des entrepots existent encore, mais ces les bâtiments industriels reconvertis en logement ou hôtels et progressivement les quartiers populaires se "gentryfient".



le "Petit-château" était une caserne, où transitaient les jeunes recrues...aujourd'hui il est un centre ouvert d'hébergement de réfugiés.







jeux verglacés

le verglas sur une piste de skateboard est le prétexte à des glissades... photos :





lundi 11 janvier 2016

canal

Le canal reliant Bruxelles à Charleroi comporte quelques sites intéressants : écluses, bâtiments industriels rénovés ou non, paysages champêtres... quelques photos de ballades récentes










lundi 4 janvier 2016

le château à la Hulpe, fin 2015

Aux derniers jours de l'an 2015, petite ballade au parc du château de la Hulpe. Quelques vues sans commentaires








voeux et résolutions

Les premiers jours de l'an sont ceux des voeux et des résolutions, bonnes ou moins bonnes, celle que l'on tient et celles que l'on abandonne après quelques semaines... la première photo de 2016 est un demi-ratage, cela commence par un horizon urbain nocturne parsemé de feux d'artifices ; le grand, l'officiel, qui devait avoir lieu dans le centre ville bruxellois, fut annulé par crainte des artificiers sauvages. Les prises de vues sont à l'arrache, sans trépied, et la troisième photo est un montage